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louis calvet - Page 3

  • A propos du lac

    lac de chalabre,louis calvetLouis Calvet, ancien élu chalabrois, s'émeut de l'état dans lequel se trouve le lac de la route de Limoux. Mise en ligne ci-après, la proposition illustrée qu'il vient de faire parvenir par courrier aux élus chalabrois.

    lac de chalabre,louis calvet" Vous trouverez ci-dessous, un schéma simplifié de remise aux normes du plan d'eau de la Piche, dont l'abandon d'entretien constitue un problème de santé publique. A noter qu'un simple aménagement avec un coin animation "guinguette", pourrait permettre à notre jeunesse, d'avoir un lieu d'attraction, de détente estival. Sans oublier une nécessaire vidange annuelle à l'entrée de l'hiver, afin que les gelées puissent détruire toute repousse au fond du bassin. Le coût de l'opération restera très modeste, avec la participation des services concernés (DDE, DDA, conseil national d'hygiène) ".

    Schéma Lac Louis Nov. 2013.JPG

  • Civisme et bases d'imposition

    louis calvetLouis Calvet, citoyen et ancien élu chalabrois, se demandant si un brin de civisme ne pourrait pas être envisagé en cette période estivale, a souhaité exprimer son sentiment sur le thème :

    "Les personnes actuellement en vacances et qui s'arrêtent dans notre petite bourgade, chargée d'un passé historique non exploité à ce jour - mais là n'est pas le sujet – constatent l'état de saleté et de délabrement des toilettes publiques du cours d'Aguesseau, dont les murs sont "constellés" de graffitis ou d'inscriptions obscènes. Une situation très irritante pour le contribuable, et à la question posée à un membre du personnel : "Pourquoi ne pas donner un petit coup de pinceau ? Une demi-journée suffirait à rafraîchir le tout", vient la réponse suivante : " Demain, ils vont recommencer ".

    Dès lors, à quoi bon faucher l'herbe, puisqu'elle va repousser (ce dont le lit du Chalabreil a tant besoin). Faisons confiance à nos jeunes, nous l'avons tous été, et ils comprendront bien que les dégradations sont réparées avec l'argent des impôts des contribuables, donc de leurs parents.

    A ce propos, il faut noter que malgré la bonne gestion de l'équipe municipale, qui réalise pour la troisième année consécutive, une baisse du taux communal (qui reste encore très élevé), les bases des taux d'imposition elles, ne cessent de grimper, et sont nettement supérieures à celles de nos voisins. Il ne faudra pas alors s'étonner de la désertification massive de nos communes, avec une telle politique. Il est difficilement concevable de maintenir les effectifs des personnels dans les communes et autres services d'intérêt public. Une baisse générale des taxes doit être envisagée, avec la réduction des dépenses inutiles, ce qui inévitablement doit conduire à la constitution d'une association de contrôle et de surveillance".

  • Energie éolienne ou énergie hydraulique, le débat est ouvert

    Noria Soucaille.JPGJadis, cette noria alimentait la tuilerie de Pierre Arnou, le tuilier potier de la Soucaille (sur la photo, archives Mars 2004, Emile Marty).

    Le 23 janvier dernier se tenait une réunion d’information relative à l’énergie éolienne, motivée par les projets visant à l’installation de parcs éoliens sur les terres du Chalabrais et de son canton (voir édition de l’Indépendant du dimanche 29 janvier, article mis en ligne sur le blog le 30 janvier).

    Louis Calvet, ancien élu et artisan chauffagiste à la retraite souhaite revenir sur un élément du débat qui, selon lui, n’a été que trop vaguement évoqué, les économies d’énergie : « Il faut se rappeler du premier choc pétrolier, des actions engagées dans le cadre des économies d’énergie par les professionnels en chauffage et climatisation, avec la participation d’experts en génie climatique qui se traduisirent par des économies non négligeables de TEP (tonnes équivalent pétrole). Concernant notre Kercorb, et lorsque l’on parle économies d’énergie, il faut rappeler que le pays chalabrais dispose d’importantes ressources hydrauliques. Il existait sur ce secteur, sept usines (textile, chapellerie, filature, minoterie, usine électrique,…), qui ne fonctionnaient pas autrement qu’avec la force motrice de l’eau des turbines. De multiples courroies faisaient fonctionner les machines et produisaient l’électricité à la demande »

    Bien que laissées à l’abandon, selon Louis Calvet « les structures existent encore. Il suffirait de remettre ces installations en état pour produire de l’énergie non polluante, d’un coût de revient estimable, issue d’un filon bien local. Ce chantier nécessite bien entendu une volonté politique, et je tiens à préciser que le coût de la remise en forme de ces installations, d’utilité publique, ne serait point supérieur à l’implantation de ces gigantesques moulins à vent. Même en période d’étiage, le rendement resterait toujours avantageux ». Une voie à creuser.

  • Réflexions à propos du gaz de schiste

    Louis Calvet, artisan plombier-chauffagiste à la retraite, souhaite faire part de ses réflexions à propos d’un thème bien présent dans l’actualité des énergies nouvelles :

    « Ce qui attire l’attention, et qui devrait interpeller tout individu de bon sens, conduit à la question suivante : Où sont-ils donc allés chercher la lumineuse idée du gaz de schiste ? Dont la mise en oeuvre pourrait venir gonfler les effets secondaires et négatifs de l’énergie atomique (lesquels selon les spécialistes, ne sont pas vraiment maîtrisés).

    Les énergies nouvelles ? Elles sont connues depuis l’Antiquité. Il serait peut-être bon de remettre en service nos usines à gaz dont toutes les villes de France étaient jadis équipées, et qui survenaient aux besoins des villageois et autres industries.    

    Cupidité collective, appât du gain ? Voilà quelques décennies, ces usines furent fermées une à une, entraînant la fin de l’exploitation des bassins miniers producteurs de houille dont on faisait le gaz. Cela au profit du gaz naturel provenant du gisement de Lacq, aujourd’hui épuisé et remplacé par le gaz naturel d’exportation. Faut-il rappeler que la fermeture des usines à gaz a entraîné l’abandon de l’exploitation de nos mines de charbon, avec la suppression de milliers d’emplois. Ainsi touchés, le pays de Jaurès, Le Creusot, St Etienne, Decazeville, Alès, en bref, du Gard au Nord, en passant par la Lorraine, déjà concurrencés par le charbon, soi-disant moins cher, provenant de Mauritanie (profit encore).

    Sans être « ringard », la réouverture de nos usines au gaz de houille, par le biais de nouvelles technologies dont nos ingénieurs ont le secret, pourrait être une alternative fiable, face à ces absurdités schisteuses. La France aurait probablement tout intérêt à se pencher sérieusement sur ce sujet, et pourrait par la même occasion donner un petit coup de pouce à l’emploi.

    En précisant que cette méthode n’est pas plus polluante que le gaz de schiste ou plus dangereuse que les centrales atomiques ou autres moulins à vent ».

    Lien permanent Catégories : Echos